L'article du jour (28/09/2011) : Facebook : « Commentaires et mentions j'aime », que faire ?, par PC INpact

En ce moment, ça râle drôlement sur Facebook. Que tout le monde lise cet article, et nous sentirons d'un coup d'un seul beaucoup plus légers. Si, si, je vous assure.

Gif! C'est dimanche #18

Toujours signé Pascale.

“A boy’s best friend is his mother.”

Psycho (1960)

Poésie dessinée

J'aime beaucoup beaucoup beaucoup.

Si vous avez 3 minutes, je vous invite à cliquer. Il est bon parfois de retrouver son âme d'enfant. Même quelques secondes.

Laisser tomber son complexe d'infériorité ?

Vous l'avez peut-être remarqué, mais les billets prennent une tournure légèrement plus personnelle ces jours-ci. Et sont plus longs aussi. J'ai l'impression que le mois d'août vous a un peu éloignés de ces pages. Alors je tente d'incarner un peu plus les choses, peut-être cela vous poussera-t-il à la confidence ? Et puis tenir un blog, c'est une démarche très personnelle, intime pour la quasi totalité d'entre vous. Je me tente à jouer le jeu aussi. Même très légèrement, je le concède.

Une plateforme de blogs c'est une somme d'individualités, surtout, voire uniquement. Alors je rajoute un peu la mienne aux vôtres, mais si cela ne correspond pas à vos attentes, les commentaires sont là pour vous. Car avant tout, je rédige les contenus ici pour vous.

Dites-moi tout ;).

Cette introduction faite, je me demandais l'autre jour ce qui nous pousse un jour à ouvrir un blog ? Comment à un moment donné dépasse-t-on la peur d'écrire et d'exposer ses écrits à destination (potentiellement évidemment) du monde entier ? J'eus un blog personnel pendant très longtemps et je sais qu'avant de sauter le pas, je m'étais posée longtemps la question de ma légitimité. Mes écrits allaient-ils plaire ? Surtout étais-je à la hauteur ?

J'imagine que la question se pose différemment quand on écrit pour soi. Quand on s'en fiche d'être lu ou pas. Néanmoins on rédige quand même sur un espace public, cela vise forcément un but, en quoi est-ce différent d'un carnet d'écriture que l'on remplirait manuellement ? Y a-t-il d'ailleurs encore beaucoup de personnes qui procèdent de cette manière ?

Et puis un jour on s'en fiche de tout ça : on remplit un formulaire, et on se lance. On aligne les mots, et on va rencontrer les autres. Ceux qui lisent.

Une somme d'individualités, nous disions. Et la vôtre ?

Klout et son influence

Une fois n'est pas coutume, je préfère préciser en introduction que le point de vue exprimé dans cet article n'est en aucun cas le point de vue officiel de la plateforme Hautetfort. Nous dirons plutôt qu'il est personnel, mais que par mon point de vue, je souhaite lancer le débat et les discussions. Et si point de débat il n'y a, j'en déduirais que ce nouveau service vous inspire autant que moi. C'est à dire, pas grand chose.

Ce nouveau service, c'est Klout.

Je vois des contenus autour de ce nouveau service partout où je passe (c'est à dire dans des tas d'endroits en ligne différents). Mais je vous connais, je suis certaine que certains d'entre vous n'en ont pas encore entendu parlé (vous vous baladez ailleurs, et vous avez bien raison), et que les autres ont certainement un avis sur la question. Le débat général n'étant pas liée exclusivement à ce nouveau service Klout, mais aux classements et indices en général. A tous ces services qui se proposent de chiffrer notre influence. D'ailleurs l'influence est une réalité si nébuleuse (à se demander si elle existe vraiment), que c'est certainement pour cette raison qu'on invente plein de chiffres et de concepts pour essayer de s'approcher d'un semblant de définition. Plutôt que le semblant, je me demandais juste : ne pourrait-on pas regarder un peu ailleurs ?

Pour me renseigner un peu sur le sujet avant de l'aborder avec vous, je me suis reportée à deux sources principales :

 - Un article sur Presse-Citron qui est la bible geek, si je m'en réfère aux geeks eux-mêmes (car évidemment, plus aucune personne sensée ne se laisserait me classer dans cette catégorie) : http://www.presse-citron.net/klout-cest-quoi-exactement-e.... A noter évidemment que le l'utilisation du terme geek ici n'est en rien péjoratif. Je n'ai tout simplement pas trouvé d'autre qualificatif, mais si vous en avez, je prends !

 - Un article chez Henry Michel qui est la bible lol, celle où on rit drôlement du web en général, et du 2.0 en particulier. Inutile de vous dire que je suis plus lol que geek. Je considère que rire sauve de toutes les situations, croyez-moi. Surtout des situations geeks lorsque l'un d'entre vous me parle HTML, et que je panique grandement. (Ce qui aura au moins le don de faire rire mes acolytes chez Hautetfort) : http://www.henrymichel.com/blog/xxtreme-klout/

Pour vous résumer la chose, je reprends donc un des paragraphes du premier article cité ci-dessus :

"Klout.com analyse votre présence, votre activité et vos relations sur différents réseaux sociaux pour en déduire le «Klout score», un score dit d’influence.

(...)

Mesurer notre influence que l’on pourrait posséder à travers les réseaux sociaux, mettre un chiffre sur notre «e-réputation», c’est l’apogée du social networking.
L’apogée, oui, que ce soit Facebook, Twitter, ou autre, il ne s’agit plus de simples outils de partage, mais d’une nouvelle génération de médias, et dans ce cadre la force d’influence sur une audience est primordiale."

Peut-être parce que le web me passionne par sa dimension humaine exclusivement, je suis toujours triste de voir de tels services émerger. Oui, triste, c'est le mot. Où se trouve l'humain là-dedans ? Pour moi, le web ça reste des personnes qui se parlent et qui avancent, car l'échange est toujours constructif, quelqu'il soit. Limiter le web au "social networking" (vous ai-je déjà dit à quel point je combats les anglicismes ?), en mesurant la dimension sociale par des chiffres d'audience, je trouve ça d'une tristesse absolue. Et tellement loin du progrès humain qui nait du web par les conversations qu'il génère.

Je m'étonne chaque jour de cette volonté de certains à vouloir toujours tout mesurer. A vouloir coller des chiffres en face des mots. Peut-être que ces choses là ne se mesurent pas. Peut-être qu'être écouté par 10 personne vaut mieux que d'être entendu par 100. Mes amis communicants me répondront que c'est ce qu'attendent les clients, les chiffres. Que ça les rassurent et qu'il faut bien ça pour vendre du web. Parce que oui, vendre du blogs, c'est un métier aujourd'hui. Mais si nous prenions le problème à l'envers et parlions enfin de l'humain ? Ca nous changera, et ça changera peut-être les clients ? Vendre des conversations et non des influences, ça me plait plus tout d'un coup.

Donc au final, vous l'aurez compris : à mes yeux, pas bien Klout, pas bien.

Et pour aller au bout de mes investigations (extrêmement poussées, vous en conviendrez), je suis allée calculer mon score :

Avec cette information capitale, pour sûr vous êtes bien avancés sur mon influence. Sûr.

Concours sur Gestes-environnement.fr

A l'occasion de la parution du livre "Impliquez-vous - 101 actions solidaires et écolos pour un monde meilleur" de Christophe CHENEBAULT le 22 septembre prochain, le blog "Gestes-Environnement" et les éditions Eyrolles organisent un concours du 19 au 30 septembre pour vous permettre de gagner l'un des trois ouvrages mis en jeu.

Pour participer, hop, on clique sur la bannière ci-dessous :

Le téléphone a disparu, et nous ?

Une fois n'est pas coutume, un petit évènement de ma vie personnelle, qui m'a donné envie de partager mes impressions avec vous. Vous qui savez à quel point le virtuel peut prendre de l'importance dans nos vie, la même consistance, la même puissance que le réel, auquel il se substitue parfois. Et finalement, pourquoi un sms, un mail, une conversation sur un chat quelconque aurait moins de valeur que la même chose échangée les yeux dans les yeux ? Certes il y a alors le palpable de la vraie vie, les regards échangés, le contact physique parfois, une fragrance, mais en quoi les mots tapés sur un clavier puis lus sur un écran seraient-ils moins forts ? Lire ou écouter, parfois ça n'est pas la même chose. Et l'un ne vaut pas mieux que l'autre. Certains billets de vos blogs disent beaucoup plus de choses que n'importe quelle conversation. Car ils disent différemment, ils peuvent se relire, les mots sont là et chaque lecteur en fait ce qu'il veut.

Ces quelques lignes d'introduction pour parler d'un évènement qui peut sembler anodin dans nos vies actuelles (et c'est pour cette raison que j'utilisais le qualificatif de petit pour le qualiifier), mais qui ne l'est pas : j'ai perdu mon téléphone portable.

On ne me l'a pas volé, non. Je l'ai perdu. Je crois que cela a été encore plus dur de me dire qu'il allait trainer là, par terre, et que quelqu'un allait le ramasser. De ne pas mettre un visage sur ce quelqu'un. Alors je vous rassure tout de suite (je commence à connaitre les lecteurs de ce blog et leur goût pour les nouvelles technologies...), je me fichais complètement de l'appareil en lui-même. Non, c'est son contenu qui fut la source de toutes mes inquiétudes. Toute une vie, presque. Ou plutôt, deux ans de ma vie. Des photos prises sur le vif, mal cadrées qui semblent sans grand intérêt, mais qui sont autant de témoignages de tous ces petits instants vécus qui font la vie jolie. Des vidéos trop longues, floues, mais des contenus animés des premières cuillières de ma fille, des premières galipettes, du premier fou rire. Des sms échangés qui, pris un par un, n'ont aucune valeur, mais prennent tout leur sens lorsque l'on déroule l'ensemble de la conversation. Alors, c'est une histoire que l'on raconte.

Tout ce contenu abandonné aux yeux de n'importe quoi, et pire, aux yeux de quelqu'un que ça laisserait indifférent, ce fut très dur. Il y a certes les sauvegardes régulières qu'évidemment je ne faisais pas. Mais même, étrange ce sentiment bizarre de se sentir tout nu après ça.

Le lendemain, hop un nouvel appareil, une mise à jour, les contenus à nouveau disponibles, sauf deux mois de ma vie disparus pour toujours. Même dans mon esprit, car si tous ces petits bouts de vie prennent de la valeur dans leur globalité, un par un, notre mémoire sélective ne les archive pas. Trop petits.

Une semaine après, c'est oublié presque. Mais je voulais partager cet instant avec vous. J'imagine que cela nous est arrivé à tous. Malheur éphémère de nos vies modernes.

Et si Twitter avait toujours existé ?

Eh bien, cela aurait pu donné ça par exemple :

Et plein d'autres choses à découvrir ici : http://houhouhaha.fr/twistory ;).

Les portraits génétiques d'Ulric Collette

Le travail de cet artiste est fascinant :

"Un travail de recherche photographique sur les ressemblances génétiques entre membres de même famille".

Je vous invite à visionner la vidéo ci-dessous pour en savoir plus, et à cliquer sur lire la suite pour l'ensemble des photos. 

Anecdotes de bureau, par Sonia

Vous remarquerez que je n'avais pas encore cédé aux sirènes du marronnier de la rentrée. Tant pis ! Je saute à pieds joints dedans, mais il ne faut pas m'en vouloir, c'est pour vous envoyer chez Sonia. Car aujourd'hui, elle a plein d'anecdotes de bureau à vous raconter.

Et croyez-moi : vous ne le regretterez pas.